Gabriel Domínguez

Gabriel Domínguez

Présentation générale

Je me présente Gabriel Domínguez (Pour vous servir mesdemoiselles ~). Originaire d'Espagne, je suis âgé de 26 ans. Je suis nouveau et j'ai bien l'intention de devenir votre professeur d'éducation physique et sportive, du moins pour les élèves concernés. Pour ce qui est de mon avatar, il s'agit de Ryan Guzman.

Caractère

Je suis pas du genre à renoncer facilement. Je vais toujours au bout des choses, quelque soit ce que j'entreprend. Je veux que les gens puissent être fiers de moi et m'accorder leur confiance. Je suis pratiquement toujours débordant d'énergie et si quelque chose ne va pas, on le remarque assez facilement. Je suis pas non plus le genre de mec à coucher de droite à gauche, j'aime le sexe mais je ne le pratique pas avec n'importe qui. Je suis quelqu'un d'honnête et de plutôt franc, si j'ai quelque chose à dire, à reprocher, je n'hésite jamais. Je suis le genre de personne à aller vers les autres et à m'attacher assez rapidement, ce qui peut parfois être problématique. Je suis quelqu'un d'assez généreux dans le sens où je suis sensible au besoins d'autrui, s'il le faut je serais même près à faire passer les autres avant moi.

Physique

Sans me vanter, je dirais que j'ai un corps plutôt bien sculpté, mes muscles sont assez développés et équilibrés. Je me permet de le dire puisque je me suis donné beaucoup de mal pour arriver à un résultat satisfaisant. Je suis assez endurant et doit mesurer aux alentours de 1 mètre 83. Certaines filles me qualifie de "beau" brun, aux yeux noisettes et à en voire certaines de leurs réactions, mon sourire en fait fondre plus d'une.

Histoire

Des cris...Des pleurs... « Arrête papa, arrête ! » Et tous les soirs c'était la même chose, depuis près de deux ans. Je n'en peux plus, je déteste mon père, je déteste quand il fait mal à maman. Je n'aime pas la voir pleurer et pourtant quand il se mettais à la frapper, moi je ne faisais que ça. A l'école mes résultats sont médiocres, je n'arrive plus à me concentrer. Tout ce que je veux c'est vivre comme avant. Quand papa aimait encore maman... Je ne sais pas si mon père était encore mon père, tout ce que je vois quand il rentre à la maison, c'est un monstre...Un papa ne doit pas frapper pas celle qu'il aime, ni son enfant. Chaque soir j'assistais à ses crises, il puait l'alcool et moi je restais impuissant. Une fois j'ai essayé de la défendre mais il a commencé à me frapper moi aussi. A l'école, lors de la visite médicale, l'infirmière remarqua mes nombreux hématomes et me demanda si j'avais des problèmes, si quelqu'un me frappait et qu'il ne fallait pas garder ça pour moi. J'avais peur de lui dire que c'était mon papa, cet être infâme qui fait souffrir ma pauvre maman, j'avais  peur qu'il se fâche et qu'il s'en prenne de nouveau à maman et à moi. J'avais 7 ans.

Quelques mois plus tard, alors que mon père faisait les bars, maman et moi avons fait nos valises et nous sommes partis, loin, loin de tout, loin de lui. J'ai vécu tout le reste de mon enfance avec ma mère, rien que nous deux, elle n'avait plus envie de s'investir dans un nouveau couple. Maman faisait souvent des cauchemars, mais j'étais toujours là pour la consoler, lui dire que tout ira bien et qu'il ne nous retrouveras plus. Elle disait que j'étais le seul homme qui méritait son amour, qu'elle espérait que je ne puisse jamais faire subir ce genre de chose à une femme. J'ai peu à peu appris à vivre avec mon passé et à l'école mes résultats se sont amélioré, bien que je n'était pas le meilleure de ma classe. Il m'arrivais d'avoir des coups de blues mais cela ne durait pas longtemps, j'allais prendre l'air et je partais dans mon petit endroit à moi où je dansais car c'était la seule chose qui me permettait de m'évader et encore aujourd'hui il m'arrive souvent de m’entraîner. A présent, je vis une existence correcte, et heureuse. Ma mère tout comme moi, avons tiré un trait sur Lui, c'est comme si il n'avait jamais exister. Je suis heureux et savoir que maman l'est aussi, me comble de joie. Cependant, j'ai du la quitté, cela m'a brisé le coeur mais je ne pouvais en faire autrement, elle voulait que je vole de mes propres ailes, j'ai fais des études et me voilà à présent dans la Amber-school où je compte exercer mon métier de professeur.

Depuis ce jour, j'aime beaucoup écouter les problèmes des autres, parce que beaucoup d'entre nous en avons et certains n'ont pas d'épaules sur qui pleurer ni de personne à qui se confier.

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