pv peter & etolia

ETOLIA
*je venais d'arriver et la pause était au jour , alors je parti en salle de detente pour lire un peu , ke pensais ne pas voir beaucoup de monde mais malheureusement il y avais du monde alors je devais m'efforcer de sourire et peute etre parler si quelqu'un venais me voir .*

Comme souvent, Peter séchait les cours, même si ses études avaient un rôle important dans la construction de son avenir, mais il les trouvait bien inutiles... Il aimait bien aller au coin détente à la place de ses cours stupides, et ce matin-là ne dérogeait pas à la règle. Peter s'assit dans un fauteuil, allumant une cigarette. Il se leva un instant pour aller saluer un camarade, mais lorsqu'il revint vers son siège, une jeune fille qu'il avait sûrement déjà vue quelque part s'était assise et lisait tranquillement. Euh... Comment dire ?

"Euh... excuse-moi, mais j'étais assis là..." soupira Peter en essayant d'être le plus calme possible.

En fait, elle allait se bouger là et vite fait, sinon elle allait goûter à la colère de notre cher Peter... Tentant de maîtriser sa rage - pourtant insolite -, le jeune homme attendit une réponse de l'étudiante, ou alors elle tâterait de son poing...

ETOLIA
*je te regardais en rougissant avant de m'excuser et me leve d'un bond pour laisser la place , je me sentait mal , tres mal , commet faire pour m'imposer , pour parler , je souriais simplement avant de sortir quelques mots de ma douce voix.*

"-OOOOh excuse moi ... je ne voulais ... prendre ta place .... je voulais juste lire ... excusez moi ... vraiment ... je ne savais pas que c'était votre palce je susi nouvelle ...."

Peter soupira en se laissant tomber dans le siège. Il était exaspéré. Pourquoi toutes les filles - ou presque - qu'il rencontrait étaient toujours des chochottes qui se mettaient à couiner... ? Le jeune homme était la rébellion, la résistance... Il sortit de sa poche une cigarette et un briquet. Après avoir allumé sa clope, il prit une bouffée, tout en dévisageant la jeune fille, qui se trouvait être plutôt mignonne quand même.

"T'en veux ?" demanda-t-il en lui tendant la cigarette, pour se faire pardonner, en quelque sorte.

Mais se faire pardonner de quoi ? D'avoir été brutal ? De toute façon, il était tout le temps brutal. Pas de moyen de changer. Aucun moyen. Eh ouais.